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DENGUE ET CHIKUNGUNYA : L’ENSEMBLE DES DÉPARTEMENTS FRANÇAIS À RISQUE.

Pour lutter contre la propagation des cas de dengue et de chikungunya, l’ARS met à disposition des ressources pour accompagner les professionnels de santé.

Arboviroses tropicales transmises par les moustiques tigres, la dengue et le chikungunya sont en progression constante dans le monde. L’Organisation mondiale de la santé estime de 50 à 100 millions le nombre annuel de cas de dengue, dont l’incidence a été multipliée par 30 au cours des cinquante dernières années. Mis en évidence pour la première sur l’île de Saint-Martin, le chikungunya quant à lui se diffuse dans toutes les Caraïbes et menace le continent américain.

 

 

Quels sont les risques en métropole et en région ?

Dans le cadre du plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue, l’ensemble des départements français est considéré à risque de transmission, que le moustique vecteur y soit implanté ou non. Depuis l’été 2017, le moustique Aedes albopictus est implanté en Centre-Val de Loire, dans l’Indre. Il a également colonisé le Cher en 2019 puis en 2020, la métropole de Tours-Val de Loire. La coexistence de ce moustique et d’un cas humain importé peut générer une chaine de transmission locale d’arbovirose.

 

En conséquence, une surveillance épidémiologique renforcée des cas humains de dengue, chikungunya et zika est mise en place pendant la période d’activité du moustique, du 1er mai au 30 novembre. Cette surveillance a pour objectif de prévenir ou de limiter l’instauration d’un cycle autochtone de transmission de ces virus et donc de réduire le risque d’épidémie autochtone.

 

 

Tous les cas suspects d’arboviroses seront signalés par les médecins, libéraux ou hospitaliers, en amont de la confirmation. Pour les accompagner, l’ARS diffuse un ensemble de documents utiles :

 

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